« home-office » à Lanzarote, dans les îles Canaries (Espagne)

Pour échapper au confinement et au télétravail routinier, rien de mieux que de changer son environnement de travail. C’est l’occasion qui s’est présentée via le cercle amical de mon copain. « Une semaine de télétravail dans les iles Canaries, ça vous dit ? » Allez Go ! 10 jours plus tard, on avait notre boarding pass en main, la valise bouclée, et un test PCR négatif, direction l’aéroport !

Pour aller dans les iles Canaries, vous pouvez réserver chez Transavia qui propose des vols réguliers depuis Paris Orly. Puis, nous avons loué une villa avec piscine pour 6 personnes via le site Airbnb dans la ville de Marcher, non loin de l’aéroport Arrecife. Location de voiture incontournable qui nous a permis de profiter des 4 coins de l’île après le taf et le weekend de notre arrivée 🙂

Arrivée à Lanzarote et installation à la villa, avec vue sur la mer… On n’était pas en vacances mais ça y ressemble !

Le samedi aprem nous sommes allés manger et nous promener sur le front de mer, du côté de Playa Honda.

Vous ne le savez peut être pas mais Lanzarote est une île volcanique ! Superficie de 846 km² qui fait partie des sept plus grandes îles de l’archipel des Canaries. Elle regroupe environ 300 cônes volcaniques Elle est la plus proche des côtes marocaines à seulement 140 km. Son volcan est encore en activité. Les dernières éruption eurent lieu en 1824.

Qui dit « Volcan » dit « rando » pour en voir, n’est ce pas ?

La journée du dimanche

L’île est vallonnée, et recouverte des anciens champ de lave/cailloux/gravats qui recouvrent une grande partie de sa superficie. On les a longuement longés en voiture ou à pied. La terre est « noire » ; c’est un paysage plutôt aride, sans beaucoup de végétation (à l’exception des cactus et des palmiers).

La randonnée la plus conseillée est la Caldera Blanca. A deux pas du parc National de Timanfaya, on randonne dans les immenses champs de lave, qui donne un aspect « lunaire » à la randonnée. L’impression de marcher sur une planète inhabitée nous a traversé l’esprit à plusieurs reprises. Et cette sensation d’immensité que l’on ressent durant le parcours. (ps: prenez de bonnes chaussures, le chemin pour accéder à l’ascension du volcan n’est pas difficile mais les cailloux sont coupants)

Après l’ascension pour admirer le cratère, certains sont descendus dans le cratère (les casse cou). Et d’autres (dont moi) ont commencé à faire le tour le haut du volcan. Mais la météo a été changeante voire même flippante notamment à cause du vent qui souffle très fort. On a écourté et on est redescendu parce que je me suis tétanisée et j’ai pas voulu poursuivre le tour du cratère par le flanc. J’étais bien contente de redescendre sur un chemin plus stable et moins venteux !

panorama sur le volcan et les champs de lave du Parc National de Timanfaya. Un paysage à couper le souffle !

de gauche à droite : la vue d’en haut du cratère, la vue d’en haut sur le flanc du volcan, la traversée du champs de lave