Nous sommes arrivés à Tokyo le 1er mai en pleine Golden week.
La Golden week est une semaine de congés pour les Japonais qui en profitent pour quitter la ville et rejoindre leur famille. Il y a également des festivités à certaines dates précises .
Nous avons logé dans Asakusa, quartier que nous avons trouvé très calme lors de cette Golden week, mais qui est plus animé en temps normal. On s’en est rendu compte en fin de séjour quand nous sommes revenus à Tokyo 48h avant votre notre retour en France .
Asakusa est bien desservi par la ligne de métro Asakusa Line. Et il y a une station JR pas très loin.
Il y a un célèbre temple à 15 mètre de la station : le Senso ji plus vieux temple bouddhiste de Tokyo. De nombreuses festivités se déroulent autour.
Le lendemain, nous avons profité du jet lag pour nous réveiller à 5h du matin. Nous avons donc profité d’un quartier « vide » sans touristes.
Très appréciable pour prendre des photos sans être constamment embêtés par les gens.
Nous avons été sur Toyosku Market, le plus gros marché de poissons du pays. Là-bas, le thon se vend une petite fortune. C’est le « rungis du poissons ».
Ce marché est situé sur une île artificielle du même nom. Il y a des quais pour s’y promener le long de l’eau, avec vue sur la skyline Tokyoïte.
L’endroit est calme et familiale. Nous avons eu la chance d’apercevoir entre deux building le Fuji Yama (situé à une centaine de km de la ville) car la météo était de notre côté.
Puis, nous avons été dans l’ancien marché au poisson : Tsukiji market, désormais reconverti en street-food market où l’on peut déguster sur le pouce plein de spécialités japonais (sushis frais, bœuf wagyu (dont celui de Kobé), produits au matcha, brochette de boule de riz, crème glacée…) Il y a également un magasin de poteries où S. s’est fait plaisir le dernier jour.
En fin de journée, on est allé à Shinjuku quartier très animé . Un petit côté Time Square/ Broadway.
Puis détour à Gion, un petit quartier qui conserve des vestiges du Tokyo du XXe siècle avant la croissance économique rapide des années 1960. A l’origine, connu (pas très bien) comme lieu privilégié du marché noir et de la prostitution. Le quartier est plein de petits immeubles d’un étage avec un petit bar au rez-de-chaussée et d’appartements où vivent les commerçants au rez-de-chaussée. Peut accueillir souvent 4 à 6 pers max.